la Mourleuse 2014

Honneur aux marcheurs qui étaient très nombreux : 191 !
Avec déjà de beaux sourires au moment du départ.

Un kilomètre de route menant au bois en guise d’échauffement avant d’attaquer “l’âme” de la Mourleuse.

On reprend un peu le soleil en traversant une belle prairie. L’allure est vive quelque soit son âge ; Bébé n’a vraiment pas l’air affecté par ces premiers kilomètres.

Grâce à l’accompagnement d’un organisateur, certains peuvent découvrir les Orcjis sauvages qui s’épanouissent en ce début de printemps.

Ils y sont : dans les bois. Et premières rencontre avec les vieilles pierres des ruines d’un moulin.

A 4 pattes la Mourleuse c’est quand même plus facile ; y a pas de quoi faire “la gueule ” ! Par contre faudra prévoir plus haut sur patte la bestiole pour espérer pouvoir s’asseoir dessus !

A quelques hectomètres du ravitaillement, la promenade devient pentue ; A la Houn de la Moule, les papilles salivent…Mais pourquoi donc ?

Dans les chênaies, le côté sauvage de cette marche forestière est l’une des particularités de la Mourleuse. Mais pas que…

Le porte gobelet et le gobelet recyclable de l’organisation sont désormais une BONNE habitude et attitude pour randonner et éviter la production de déchets.

Si l’éléphant avait été aperçu juste la veille sur un rond-point dégustant une banane, d’autres rencontres fortuites allaient interpeller nos promeneurs !

En effet, aux inscriptions un message “préfectoral” incitait les promeneurs des bois à la plus grande prudence suite à l’évasion de quelques animaux sauvages d’un cirque.

Enfin là, le resto d’altitude !

Y a de tout pour tous, et c’est bien mérité. On déguste, on papotte, on échange, on se retrouve..

La convivalité made in Oxypur.

250 vététistes étaient réunis sur les différents circuits : 4 au total.

Le parcours des enfants, encadrés par nos bénévoles et accompagnés par les parentes, a tenu toutes ses promesses.

C’est avec Sandra, notre maman avanturière que la balade à dérouler ses kilomètres sans qu’on en mesure l’importance ; mission accomplie pour les enfants.

Le parcours 25 km permettait aux jeunes et leurs parents de vivre les plaisirs du VTT avec un parcours sinueux technique et varié. Mais au bout du compte, c’est quand même l’expérience et la gestion de l’effort aui a eu raison des dents longues reléguées à leur désespoir à quelques roues derrière.

Les filles, les mamans, les jeunots, tous ont souffert un peu, mais sont rentrés réjouis par ce partage de sensations avec parents ou copains ou avec soi-même !

Petit arrêt aux abords d’une étable pour découvrir de petits veaux et se faire tétouiller le doigt par ces voraces babybovins.

Dur dur l’apprentissage des vitesses ; papa t’avait dit àpourtant… Mais on préfère apprendre à ses dépens. A moins que papa ait oublié de vérifier le matériel la veille ?!

YES ! Le Barracoude encore et toujours là cette année, avec ses odeurs de grillades et ses copieuses saveurs au fin fond du vallon du Mourle. Des victuailles servies sous le soleil SVP !

C’est parti pour le 50 et 35 km dans les petites rues de Bénéjacq. Pas de suiveur cette année sur ces parcours car parti sur la marche… Peu d’images pour nos vététistes.

Petits passages secrets, halte dans une aire de jeu…pour jouer ; que voulez-vous de mieux pour donner le plaisir de rouler aux minots ?

L’important est ailleurs ; sur le parcours avec une descente vertigineuse pour la grande boucle, et des singles forestiers dans tous les sens pour tous. Faut avoir des cannes pour bien apprécier ; La Mourleuse est gaillarde, eux aussi l’étaient.

Bravo à tous.

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